L'inquiétante histoire des vaccins
Marc MenantLes sommités de la Faculté se sont évertuées à marteler dès le début de l’épidémie du Covid, étiquetant les bien-portants « asymptomatiques », qui, infiltrés par un agent infectieux, ne développent pas le moindre symptôme généré par la maladie alors qu’ils en sont bien la proie. Là, le drame, car ils deviennent ainsi les principaux responsables de sa diffusion… principaux… puisqu’ils représentent plus des trois quarts des contaminés. Bien sûr, on pourrait objecter que l’absence de maux rend très faible la probabilité de déclencher les quintes de toux vecteurs de la propagation, mais les grands pontes se sont obstinés à proclamer ces « malades clandestins » dangereux pour autrui, ce qui, à la réflexion, apparente leur présence en un lieu à un homicide, au mieux involontaire s’ils ignorent leur cas, et volontaire s’ils le connaissent. Quelle que soit la version, ils se rendent coupables d’un indéniable délit d’« illusion de bonne santé », délit heureusement évitable par la vaccination qui – garantissent les infectiologues – force le système immunitaire à la production de l’indispensable stock d’anticorps, production que n’avait pas déclenchée naturellement l’intrusion du virus pourtant en quintessence de virulence !!!